Petroleum de Bessora, par le projet de recherche Ecolitt

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Doctorante en écocritique comparée à l’Université d’Angers, Anne-Laure Bonvalot publie un compte-rendu de lecture de Petroluem sur Ecolitt, le projet de recherche sur l’écologie en littérature de l’université d’Angers. Extrait

 

Source : Anne-Laure Bonvalot, « Petroleum », Ecolitt.


Véritable « pétro-polar », ce roman déroule de manière originale l’histoire pétrolière du Gabon : il est une enquête policière, politique et géologique qui explore tout à la fois les dessous de la terre et ceux de l’entreprise Elf-Gabon. Tout commence lorsqu’une explosion secoue l’Ocean liberator, une plateforme pétrolière au large de Port-Gentil – deuxième ville du pays – au moment précis où les géologues et autres foreurs accèdent enfin au liquide tant convoité. Les causes de l’accident sont méconnues, et leur élucidation constitue le cœur de l’intrigue. S’agit-il d’un attentat politique, d’une erreur de manutention, d’un sabotage de la part d’Étienne Girardet, un géologue syndicaliste et militant antiraciste qui périt dans l’explosion ? Pour tenter de démêler l’affaire, le siège parisien d’Elf envoie sur place un profiler aléatoire, Georges Montandon.

Les thèmes écologiques sont-ils centraux ou marginaux dans le texte ? Absolument centraux. Tout le roman peut être lu comme une histoire de l’exploitation des richesses naturelles du Gabon, en particulier du pétrole. La thématique de la profanation de la nature, évoquée notamment au travers de métaphores filées – viol répété de la terre – ou de récits mythiques et surnaturels – arbre d’Igoguino –, est profondément structurante. D’autres thèmes socio-environnementaux fondamentaux, comme la déforestation, la (non) gestion des déchets, la pollution, le racisme institutionnel, le paternalisme, la marchandisation à outrance du territoire et de ses ressources ou la brutalité du colonialisme sont traités sur un même plan, le texte abordant de front les problématiques politique, économique ou sociale et leur pendant écologique.

Les événements liés à l’écologie sont-ils réels ou imaginaires ? Plutôt réels : bien que le récit comporte une forte dimension surnaturelle, celle-ci n’a rien de vraiment fantastique puisqu’elle se fonde sur des légendes et des représentations de la nature locales et continentales. L’historique de l’extraction pétrolière se déroule en effet selon deux niveaux : d’une part, le récit des agissements des géologues, des cadres et autres employés de l’entreprise Elf-Gabon est jalonné de références précises à l’histoire de l’exploration du pétrole dans la région – dates du forage des premiers puits et des accords signés, chiffres de la production pétrolière, manœuvres internes à la compagnie – ; d’autre part, le récit de l’histoire des populations locales livre leurs cosmogonies particulières, mais aussi les modalités complexes de leurs relations souvent conflictuelles avec les premiers. Le roman est extrêmement bien documenté et se fonde ainsi sur un régime de référentialité réaliste.

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Paiement des droits d’auteur

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La loi Création, Architecture et Patrimoine du 7 juillet 2016 a permis d’intégrer au code de la propriété intellectuelle un nouvel article qui sanctionne l’absence de paiement des droits d’auteur par une résiliation de plein droit du contrat.


L’article L.132-17-3-1 du CPI précise désormais que l’éditeur doit procéder au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire, et que faute pour celui-ci de procéder au paiement dans ces délais, l’auteur peut, durant les douze mois qui suivent, mettre l’éditeur en demeure de régler ces droits d’auteur. Si cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.

D’une manière générale un éditeur arrête ses comptes chaque année au 31 décembre. Au moins une fois par an, il doit verser les droits d’auteur relatifs à l’exploitation des œuvres. La date de paiement est prévue au contrat. A défaut, le paiement doit intervenir au plus tard six mois après l’arrêté des comptes.

Article L .132-17-3-1 du Code de la propriété intellectuelle :

« L’éditeur procède au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire précisée par l’accord rendu obligatoire mentionné à l’article L. 132-17-8.

Si l’éditeur n’a pas satisfait à son obligation de paiement des droits dans les délais prévus au premier alinéa du présent article, l’auteur dispose d’un délai de douze mois pour mettre en demeure l’éditeur d’y procéder.

Lorsque cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.

IMPORTANT :

* Toute mise en demeure s’effectue par lettre recommandée avec accusé de réception. Conserver une copie de la lettre.

* La résiliation de plein droit est automatique. Si votre éditeur ne respecte pas ses obligations dans le délai de trois mois, le contrat sera résilié et ce, même si vous souhaitez poursuivre votre collaboration avec lui.

* Une fois la résiliation du contrat acquise, adresser une lettre simple à l’éditeur pour avoir un document à présenter à un éventuel futur éditeur justifiant des démarches. Si l’on souhaitez poursuivre sa collaboration avec l’ancien éditeur, signer un nouveau contrat d’édition.

 

 

Le Congrès Sharp

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Le congrès Sharp examinera, du 18 au 22 juillet 2016, l’histoire du livre et la culture de l’imprimé dans la République mondiale des lettres. 400 chercheurs venus des cinq continents s’interrogeront sur la circulation de l’imprimé sous toutes ses formes dans l’espace international selon les nations et les époques, sur le langage du livre en tant qu’objet. On analysera l’impact de la révolution numérique en tant que nouveau langage de l’imprimé.


SHARP (Society for the History of Authorship, Reading and Publishing) est une association internationale qui rassemble chercheurs, étudiants, professionnels et amateurs, autour de l’histoire du livre et de l’imprimé. Après Philadelphie, Anvers et Montréal, le 24ème congrès de SHARP se tiendra à Paris, à la Bibliothèque nationale de France et la BULAC (Bibliothèque universitaire des langues et des civilisations), du 18 au 21 juillet 2016. Ce congrès bilingue (français et anglais) a pour thème « Les langues du livre ». Il abordera des sujets tels que la circulation des imprimés dans le monde, les flux de traduction, les effets de la révolution numérique, les problèmes d’illettrisme.

Organisé conjointement par le Comité français international bibliothèques et documentation (CFIBD) et la Bibliothèque nationale de France (BnF), le congrès SHARP 2016 propose de nombreuses activités scientifiques : conférences plénières et tables rondes, ateliers, ateliers de doctorants, exposition de projets numériques etc. Il rassemblera quelque 400 chercheurs venus des cinq continents.

Alpha de Barroux et Bessora, par la revue Migrinter

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Doctorante en géographie, Sarah Przybyl publie un compte-rendu de lecture d’Alpha dans la revue e-Migrinter. LABORATOIRE MIGRINTER – UMR 7301 CNRS / Université de Poitiers. Extrait

 

Source : Sarah Przybyl, « Bessora ; Barroux, Alpha, Abidjan-Gare du Nord », e-Migrinter.


Les supports pour comprendre et analyser les migrations internationales se diversifient. Si le laboratoire MIGRINTER a fait du web un nouvel espace de valorisation de la recherche (photothèque, archives numérisées, réseaux sociaux, etc.), les rayons de son fonds documentaire ne cessent de s’étoffer et de se diversifier. Aux côtés des revues spécialisées, des atlas, des dictionnaires, une étagère accueille désormais des bandes dessinées. Ainsi, on retrouvera une adaptation du célèbre roman l’Étranger d’Albert Camus (Camus, Fernandez, 2013), ou encore l’histoire dessinée d’un « Beurgeois » (Boudjellal, 1997). Supports étonnants à première vue, ces ouvrages illustrés ont pourtant tous bel et bien un lien avec la thématique des migrations internationales. Ils permettent de lire et d’aborder ce sujet de manière différente.

L’histoire d’Alpha c’est celle d’un homme animé par le désir de retrouver sa femme et son fils. Le propos léger et parfois humoristique de Bessora rappelle que les migrations internationales sont avant tout des histoires humaines. Si les routes sont bien incertaines, la détermination de ces « aventuriers »1 reste intacte au cours de la lecture. Cette bande dessinée ce n’est pas seulement l’histoire d’Alpha que Bessora et Barroux donnent à voir et à lire ; c’est aussi celle de milliers d’autres hommes, de femmes et d’enfants prêts à tous les sacrifices pour rejoindre un ailleurs plus prometteur. La seule inconnue du voyage reste le sort que cet ailleurs leurs réservera une fois arrivé à destination, mais aussi et surtout : Alpha retrouvera-t-il enfin sa femme et son fils pour lesquels il a pris tant de risques ?

L’arrivée des bandes dessinées dans les rayons du fonds documentaire du laboratoire MIGRINTER confirme l’intérêt d’intégrer de nouveaux supports dans la compréhension des expériences migratoires. Considérés comme des outils d’expression par certains, comme des données de terrains de recherche à part entière par d’autres, la présence de ces œuvres réaffirme la pertinence de la diversification des sources d’analyse des flux migratoires dans le champ des migrations internationales.

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Les 3 vies du Chevalier, de Dattola

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Le film documentaire Les 3 vies du Chevalier, de Dominique Dattola, sera projeté le 1er juillet au cinéma l’Alhambra, à Marseille. Dans le cadre de la résidence d’auteurs la Marelle, la projection sera suivie d’un débat.

 


 

Au fil de son récit, le réalisateur éclaire l’évolution de la liberté de penser en France depuis l’Ancien Régime jusqu’à aujourd’hui en suivant les rebondissements d’une affaire emblématique : l’Affaire n°23 dite « La Barre » : un procès pour blasphème instruit, en France au siècle des Lumières, et qui continue de défrayer la chronique depuis plus de 250 ans. Une histoire racontée au fil du procès du Chevalier de la Barre et de la lutte de ses défenseurs pour sa réhabilitation.

Un récit éclairé par de nombreux chercheurs dans une fresque où se mêlent sculpture et politique au rythme d’une musique originale interprétée à l’image par l’Orchestre de Picardie au Théâtre Impérial de Compiègne.

Le film a reçu le « Prix de l’Initiative Laïque » aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois décerné conjointement par la MAIF, la MGEN et la CASDEN. Il a reçu également le soutien de l’Institut Voltaire de la Ville de Genève et est placé sous le haut patronage de la Commission Française pour l’UNESCO.

A day without celebrities

Source : http://liveart123.blogspot.com

Source : http://liveart123.blogspot.com

Ce billet d’humeur a été écrit par l’un de nos membres, un pudique qui souhaite garder l’anonymat. Reflet de l’état d’esprit de nombres d’entre nous, on se l’approprie d’autant mieux qu’il reflète l’état d’esprit de nombre d’entre nous.

Les temps sont durs, je suis horrifiée par ce que je lis tous les jours, les réfugiés qui se noient par milliers, les enfants bouffés par les chiens du voisin ou plongés dans l’eau bouillante par
leurs parents. Les atrocités commises, (l’autre jour un jeune homme écorché vif après s’être fait arracher les yeux puis balancer du haut d’une falaise), les jeunes filles brûlées vives par leur propre mère.

Il y a 75 ans on jetait les gens dans les fours, d’autres bouffaient leurs prisonniers de guerre, la Chine a affamé des millions de ses propres citoyens, des enfants esclaves fabriquent encore nos biens de consommation, et ailleurs des petits albinos sont dépecés à coups de hache pour le pouvoir de superstitieux de la pire espèce.

Il y a eu les droits de l’homme, les droits de la femme, les droits LGBT, la création d’institutions et d’ONG qui protègent, défendent. Les gens se mobilisent par millions pour signer des pétitions, mettre de la pression.

Des fois ça marche.

Mais ce n’est guère une consolation pour la famille d’une petit garçon mort sur une plage.

Je vais arrêter de lire les news pendant quelque temps. Ne serait-ce que pour échapper aux photos Instagram de toutes ces célébrités à la con qui me donnent envie de gerber. Si j’étais une Tweeteuse, je lancerais un mouvement intitulé A Day Without Celebrities

Parfois le Vide – Jean-Luc Raharimanana

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Le 17 juillet 2016, dans le cadre du festival d’Avignon, lecture musicale de Parfois le vide, de Jean-Luc Raharimanana, avec  Tao Ravao, Jean-Christophe Feldhandler, Geraldine Keller. Au jardin de la Rue de Mons, à 11h30.

Un personnage, entre les eaux et le ciel, parfois oiseau, souvent noyé/nageur. Il va vers, ou peut-être qu’il fuit… on dit qu’il migre.

Avec cette exclamation, ce salut, « Ça va, ça va le monde ! », RFI invite spectateurs et auditeurs à appréhender l’actualité du monde par les mots du théâtre. Pour la quatrième année, RFI propose un cycle de lecture de six textes d’auteurs contemporains francophones issus d’Afrique, du Proche-Orient et de l’Océan indien. Ces créations sont à entendre tous les matins dans le jardin de la rue de Mons puis sur les ondes de la radio mondiale au cours de l’été. Grâce à des auteurs confirmés ou à découvrir, avec le plus souvent des textes inédits, l’objectif est d’inviter les spectateurs et les auditeurs à croiser les imaginaires et à entendre d’autres histoires du monde. Le cycle « ça va, ça va le Monde ! » est coordonné par Pascal Paradou et dirigé par le metteur en scène Armel Roussel dont la compagnie (e)utopia3 participe à la production.

Ces lectures en public sont également diffusées sur les antennes de RFI à partir du 24 juillet : Fréquence Paris – 89 FM et sur rfi.fr

Distribution

Lu par Jean-Luc Raharimanana avec Tao Ravao (guitare), Jean-Christophe Feldhandler (percussion) et Géraldine Keller (chant)

Production

Coproduction le Festival d’Avignon
Avec le soutien de la SACD dans le cadre de son action culturelle radiophonique

 

Europe du Livre : les 12 propositions du Conseil Permanent des Ecrivains

Sous le parrainage des députés européens, Jean-Marie Cavada, Constance Le Grip et Virginie Rozière, le Conseil Permanent des Ecrivains a organisé un après-midi de réflexion sur l’avenir de l’auteur au Parlement européen de Bruxelles

 

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Intitulé « L’auteur européen dans le XXIe siècle », cet après-midi a été marqué par 12 propositions, formulées à l’intention des responsables politiques européens, pour que les auteurs puissent continuer à exercer leur liberté d’expression, à fournir des œuvres de qualité à la première industrie culturelle d’Europe et à faire rayonner la littérature européenne dans le monde. En résumé :

1. Affirmer un droit d’auteur européen fort, garant des droits patrimoniaux et moraux des créateurs

2. Garantir une rémunération juste et équitable aux auteurs

3. Équilibrer les relations contractuelles entre auteurs et éditeurs

4. Préférer les solutions contractuelles ou la gestion collective à la multiplication des exceptions obligatoires

5. Encourager le dialogue entre les différents acteurs de la chaîne du livre

6. Lutter efficacement contre le piratage en mettant fin au régime d’irresponsabilité des plateformes et intermédiaires en ligne

7. Favoriser l’interopérabilité des systèmes de lecture

8. Appliquer un taux réduit de TVA au livre, quel que soit son format

9. Maintenir et promouvoir les politiques de prix unique du livre

10. Renforcer l’exception culturelle

11. Favoriser la diversité et la circulation des œuvres en encourageant leur traduction

12. Sauvegarder la liberté d’expression et soutenir la création




 

Plus d’informations

Journée internationale de la propriété intellectuelle

auteureuropeenLa journée internationale  de la Propriété Intellectuelle aura lieu le 26 avril.

15:00 – 15:20

INTRODUCTION

– Mot d’accueil par Jean-Marie CAVADA, président du groupe de travail de la commission JURI sur la propriété intellectuelle et la réforme du droit d’auteur
– Propos introductif par Philippe MAGNIER, directeur « Culture et Créativité » à la direction générale Education et Culture de la Commission européenne
– Présentation: « Douze propositions pour une Europe du livre », par Hervé RONY et Cécile DENIARD, vice-présidents du CPE.
Projection vidéo : « L’auteur au début de la chaîne du livre »

15:20 – 16:30

TABLE RONDE 1 – Le créateur au cœur du droit d’auteur

Introduction : Dr Frank GOTZEN, université catholique de Louvain
– Droit d’auteur et copyright: deux concepts, une directive.

– Répandre le savoir et protéger les auteurs: la question des exceptions.

Intervenants :

  • Constance LE GRIP, membre du Parlement européen (France)
  • Mary HONEYBALL, membre du Parlement européen (Royaume-Uni)
  • Giorgos GRAMMATIKAKIS, membre du Parlement européen (Grèce) (à confirmer)
  • Gerhard PFENNIG, porte-parole de l’Initiative Urheberrecht

16:45 – 17:45

TABLE RONDE 2 – Comment les auteurs peuvent-ils s’adapter au nouvel environnement numérique ?
Introduction : Dr Giuseppe MAZZIOTTI, Centre for European Policy Studies (CEPS), Trinity College de Dublin
– Les comportements de lecture et les usages changent avec la numérisation. Les écrivains européens veulent s’adapter au nouvel écosystème.

– Quelle relation avec les éditeurs? Quel type de contrat numérique ? Comment protéger la valeur ?

Intervenants :

  • Virginie ROZIERE, membre du Parlement européen (France)
  • Anna HEROLD, membre du cabinet du commissaire OETTINGER
  • Frédéric YOUNG, délégué général de la Scam Belgique
  • François PERNOT, directeur général des éditions Dargaux Lombard, directeur général du Pôle Image de Media-Participations

18:00 – 19:00

TABLE RONDE 3 – Echange avec des auteurs européens
Auteurs :

  • Juan Pedro APARICIO, romancier (Espagne)
  • Philippe GELUCK, dessinateur (Belgique)
  • Morten VISBY, traducteur (Danemark)

 

Formulaire d’inscription

 

Pierre Cornuel

Pierre Cornuel

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Peintre, auteur, illustrateur… Né dans la Sarthe, mais adulé jusqu’en Chine !

Diplômé de l’ École Supérieure des Arts Modernes de Paris, où il enseigne aujourd’hui. A publié une soixantaine d’albums jeunesse, principalement aux éditions Grasset.
Expose ses œuvres acrylique, huile, aquarelle, encre de Chine et pastels en France et à l’étranger. Le jazz fait partie de ses sources d’inspiration. Cornuel, c’est une quête, d’absolu. Un absolu dans tous ses états, qui dit l’argument. Et les accidents qui le sauvent.
Son dernier livre, Le héros, paraît aux éditions Hongfei en 2015


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