Le Mardi 6 juin, à partir de 18:00, jusqu’à 20:00
A L’Autre Café
62, rue Jean Pierre Timbaud, 75011 Paris
Le Mardi 6 juin, à partir de 18:00, jusqu’à 20:00
A L’Autre Café
62, rue Jean Pierre Timbaud, 75011 Paris
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On peut voir Demain TV en direct sur le net
Sur la TNT en île-de-France : Canal 31
Numéricable : canal 94
Free : Canal 163
Orange : Canal 165
SFR : Canal 337
BBox : Canal 402
Le film sera rediffusé vendredi 14 avril à 21 h 30.
Auteurs, philosophes, chercheurs et politiques poseront les enjeux des politiques publiques en matière culturelle. Le colloque interrogera aussi l’avenir des médias publics, et les ambitions numériques de l’Europe.
Réservation en ligne indispensable
Information/contact : marianne.rollet@scam.fr
presse : Astrid Lockhart – 01 56 69 64 05 – astrid.lockhart@scam.fr
Une manifestation Scam, en partenariat avec la Mairie de Paris et le Forum des images, News Tank Culture, NPA conseil, L’Observatoire des médias
Tous les artistes auteurs cotisent désormais à la retraite complémentaire (RAAP) proportionnellement à leurs revenus : fini la cotisation à la carte !
Ca commence cette année ( qu’on vous souhaite jolie), et ça se calcule sur les revenus 2016, sauf pour les droits d’auteurs de l’audiovisuel.
La loi dit 8 %. Mais, une montée en charge progressive est prévue, de 1 % jusqu’en 2020. Le taux « normal » en 2017 est donc de 5 % (base revenus 2016).
Le RAAP, c’est le Régime des Artistes Auteurs Professionnels.
Il est géré par l’IRCEC, qui vous a envoyé l’enveloppe menaçante.
L’IRCEC, c’est l’Institution de Retraite Complémentaire de l’Enseignement et de la Création. C’est une Caisse nationale de retraite complémentaire des artistes auteurs.
En fait il s’agit d’un formulaire de pré-appel.
A retourner avant le 15 février au moyen de l’enveloppe jointe.
L’IRCEC y reprend vos revenus connus : ceux que vous avez déclaré en 2015. Elles vous demandent ceux de 2016, si vous les connaissez.
Si vous ne répondez pas, vous n’attraperez pas la maladie du charbon… mais paierez en 2017 une cotisation retraite complémentaire de 5% sur votre dernier revenu déclaré.
Si vous répondez, vous n’attraperez pas de maladie non plus, et vous pourrez choisir entre :
Un taux à 4% (c’est moins cher, mais retraite bas de gamme, réservée aux revenus compris entre 8.703 euros et 26.109 euros )
Un taux à 8%, direct ! (pour une retraite haut de gamme, mais attention, choix irréversible, réservée aux revenus compris entre 8.703 euros et 117.684 euros !)
Si vous répondez et que vos revenus sont inférieurs à 8.703 euros en 2016, vous pourrez choisir entre 8%, 4%, ou 0% (et 0 points retraite) !
Pour les auteurs fiscalement en traitements et salaires, la base des cotisations sera les droits d’auteurs bruts.
Pour les auteurs fiscalement en BNC, dès lors qu’ils justifient de la dispense de précompte, la base sociale est le BNC majoré de 15 %.
En l’état actuel, les retraités n’ont pas de cotisation RAAP à payer.
Il existe une commission de recours amiable au RAAP qui a compétence à examiner tous les cas particuliers ou qui pourraient être qualifiés de « hors cadre ».
En cas de besoin, contacter le SNAC, ou écrire à l’IRCEC :
reformeduraap@ircec.fr peut être utilisée, de même que les appels ou les visites sur place.
IRCEC-RAAP : 9, rue de Vienne – CS 70012 – 75379 Paris cedex 08 – M° Saint-Lazare ou Europe (sur place, du lundi au vendredi de 9h45 à 16h30)
Tél. service cotisations 01 44 95 68 30 – Tél. service prestations 01 44 95 68 31 – contact@ircec.fr
D’abord, être affilié à l’Agessa ou à la Maison des Artistes. Pour les autres, dits les assujettis, justifier d’un montant de droits d’auteur de 9000 € sur les trois dernières années.
Ensuite choisir. Stage conventionné, formation transversale, formation métier, demande particulière ? Dans les trois premiers cas, on se réfèrera aux catalogues de l’AFDAS. Ici, par exemple, une liste des formations. Puis on contacte le centre qui nous intéresse, on s’inscrit, paperasserie (un peu)… et le tour est joué.
Il est aussi possible de suivre une formation qui n’est pas conventionnée par l’AFDAS. Dans ce cas, on lui présente une demande particulière : un CV, une lettre de motivation, quelques informations sur le programme de notre choix, paperasserie (un tout petit peu). Et notre dossier passe en commission. Celle des auteurs de l’écrit et des arts dramatiques dans notre cas. Quelle que soit la commission dont on relève, on peut se former dans tous les domaines, qu’ils soient proches ou non de nos métiers.
Article initialement publié sur le site du SNAC.
L’ European Documentary network fête cette année ses vingt années d’existence. son rôle a-t-il beaucoup évolué durant cette période ?
Il y a plus de deux décennies, un petit groupe de professionnels européens du documentaire réunis alors à Marseille, a souligné la nécessité évidente de créer une organisation qui défendrait les intérêts de la communauté documentaire tout en étant un réseau professionnel de partage de connaissances et d’informations. Parti de rien, ce groupe n’a cessé de croître ensuite en nombre de membres. Au sein même de eDn, une équipe très motivée a réussi, au fil des ans, à construire ce relais solide du secteur documentaire. Je poursuis aujourd’hui cette mission initiale qui, bien sûr, s’est enrichie en fonction des besoins du secteur.
de différents pays et des réalisateurs avec des expériences différentes. Des collaborations naissent souvent ensuite de ces échanges.
À Lisbonne, il y a en général au moins quatre projets de films qui déjà trouvent des coproducteurs. C’est très important parce que cela aide à la construction d’un monde professionnel et européen du documentaire face à un Netflix par exemple.
Lorsqu’un producteur belge travaille avec un producteur polonais sur un projet polonais, nous défendons concrètement la diversité européenne. De plus, les pays d’Europe de l’est ont tellement d’histoires intéressantes à raconter et le fait que ce soit justement un producteur belge qui permette de faire émerger une de ces histoires, je trouve cela particulièrement intéressant.
Dans ces ateliers, je dis toujours aussi aux gens: « ne vous méprenez pas vis-à-vis des gens que vous avez en face de vous dans les forums. Ce ne sont plus eux qui prennent la décision finale d’acheter ou pas votre projet. Dépêchés par les chaînes télé, ils deviennent ensuite vos avocats car ils doivent ensuite pitcher eux-mêmes votre projet devant toute leur hiérarchie et le département financier. Et au minimum six ou huit mois après, avec un peu de chance, ils reçoivent le feu vert pour votre film ».
Catherine Le Goff ou Thierry Garrel chez Arte ont toujours fait des choix judicieux, sans crainte de prendre des risques. À présent, les chargés de programmes sont très peureux. Il n’y a guère que Mette Hoffmann Meyer de la télévision danoise qui continue d’imposer son audace mais elle sera bientôt, elle aussi, partie.
En fait, vous parlez vous aussi à un dinosaure ! J’ai été moi- même producteur de la fin des années quatre-vingt à 2004, date à laquelle j’ai vendu ma société car je tirais déjà un bilan assez négatif des changements dans le paysage audiovisuel. Mais jusque-là, j’ai vécu une époque dorée du documentaire. J’ai été ensuite pendant deux ans chargé de programmes pour la télévision publique flamande VRT.
Ce fut les deux années les plus misérables de ma vie mais j’ai appris énormément des processus de décision dans une chaîne de télévision. Aujourd’hui, en 2016, je vois encore de très bons producteurs raccrocher, épuisés par ces combats pour défendre le documentaire, et cela m’attriste…
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L’article L.132-17-3-1 du CPI précise désormais que l’éditeur doit procéder au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire, et que faute pour celui-ci de procéder au paiement dans ces délais, l’auteur peut, durant les douze mois qui suivent, mettre l’éditeur en demeure de régler ces droits d’auteur. Si cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.
D’une manière générale un éditeur arrête ses comptes chaque année au 31 décembre. Au moins une fois par an, il doit verser les droits d’auteur relatifs à l’exploitation des œuvres. La date de paiement est prévue au contrat. A défaut, le paiement doit intervenir au plus tard six mois après l’arrêté des comptes.
« L’éditeur procède au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire précisée par l’accord rendu obligatoire mentionné à l’article L. 132-17-8.
Si l’éditeur n’a pas satisfait à son obligation de paiement des droits dans les délais prévus au premier alinéa du présent article, l’auteur dispose d’un délai de douze mois pour mettre en demeure l’éditeur d’y procéder.
Lorsque cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.
IMPORTANT :
* Toute mise en demeure s’effectue par lettre recommandée avec accusé de réception. Conserver une copie de la lettre.
* La résiliation de plein droit est automatique. Si votre éditeur ne respecte pas ses obligations dans le délai de trois mois, le contrat sera résilié et ce, même si vous souhaitez poursuivre votre collaboration avec lui.
* Une fois la résiliation du contrat acquise, adresser une lettre simple à l’éditeur pour avoir un document à présenter à un éventuel futur éditeur justifiant des démarches. Si l’on souhaitez poursuivre sa collaboration avec l’ancien éditeur, signer un nouveau contrat d’édition.
Au fil de son récit, le réalisateur éclaire l’évolution de la liberté de penser en France depuis l’Ancien Régime jusqu’à aujourd’hui en suivant les rebondissements d’une affaire emblématique : l’Affaire n°23 dite « La Barre » : un procès pour blasphème instruit, en France au siècle des Lumières, et qui continue de défrayer la chronique depuis plus de 250 ans. Une histoire racontée au fil du procès du Chevalier de la Barre et de la lutte de ses défenseurs pour sa réhabilitation.
Un récit éclairé par de nombreux chercheurs dans une fresque où se mêlent sculpture et politique au rythme d’une musique originale interprétée à l’image par l’Orchestre de Picardie au Théâtre Impérial de Compiègne.
Le film a reçu le « Prix de l’Initiative Laïque » aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois décerné conjointement par la MAIF, la MGEN et la CASDEN. Il a reçu également le soutien de l’Institut Voltaire de la Ville de Genève et est placé sous le haut patronage de la Commission Française pour l’UNESCO.
15:00 – 15:20
INTRODUCTION
– Mot d’accueil par Jean-Marie CAVADA, président du groupe de travail de la commission JURI sur la propriété intellectuelle et la réforme du droit d’auteur
– Propos introductif par Philippe MAGNIER, directeur « Culture et Créativité » à la direction générale Education et Culture de la Commission européenne
– Présentation: « Douze propositions pour une Europe du livre », par Hervé RONY et Cécile DENIARD, vice-présidents du CPE.
Projection vidéo : « L’auteur au début de la chaîne du livre »
15:20 – 16:30
TABLE RONDE 1 – Le créateur au cœur du droit d’auteur
Introduction : Dr Frank GOTZEN, université catholique de Louvain
– Droit d’auteur et copyright: deux concepts, une directive.
– Répandre le savoir et protéger les auteurs: la question des exceptions.
Intervenants :
16:45 – 17:45
TABLE RONDE 2 – Comment les auteurs peuvent-ils s’adapter au nouvel environnement numérique ?
Introduction : Dr Giuseppe MAZZIOTTI, Centre for European Policy Studies (CEPS), Trinity College de Dublin
– Les comportements de lecture et les usages changent avec la numérisation. Les écrivains européens veulent s’adapter au nouvel écosystème.
– Quelle relation avec les éditeurs? Quel type de contrat numérique ? Comment protéger la valeur ?
Intervenants :
18:00 – 19:00
TABLE RONDE 3 – Echange avec des auteurs européens
Auteurs :