L’ Afdas propose des stages métiers pour se perfectionner dans différents domaines. Programmes détaillés pour les artistes-auteurs 2D/3D ! |
APAXXDESIGNS TRAINING CENTER — Designer interactif HTML5
Siège Ile-de-France (PARIS 11) Du 11/09/2017 au 22/09/2017 – n°web:0803510 APAXXDESIGNS TRAINING CENTER — Réaliser un site de petite ou moyenne envergure sans coder avec Adobe Muse CINQUIEME SENS — DESIGNER OLFACTIF (PARCOURS DU PARFUMEUR-CREATEUR) GOBELINS ECOLE IMAGE — Datavisualisation – Data Design GOBELINS ECOLE IMAGE — Motion Design 2D GOBELINS ECOLE IMAGE — Réaliser vos illustrations en vectoriel INECAT — ACCOMPAGNER PAR LA CREATION LES PERSONNES EN DIFFICULTE D’ETRE AMAC — CONCEVOIR SES OUTILS DE COMMUNICATION AMAC — DOCUMENTER ET ARCHIVER SON TRAVAIL ARTISTIQUE AMAC — DÉVELOPPER ET ENTRETENIR SON RÉSEAU PROFESSIONNEL AMAC — PRESENTER SA DEMARCHE ARTISTIQUE AMAC — RÉPONDRE ÀUN APPEL ÀPROJET DANS LES ARTS VISUELS ELISABETH BONVALOT — représentation d’un modèle vivant en 3D FDO FORMATIONS — Dessiner et modéliser en 3D pour valoriser vos scénographies d’exposition GOBELINS ECOLE IMAGE — Création d’un livre numérique au format EPUB3 avec InDesign GOBELINS ECOLE IMAGE — Motion design 2D/3D – 3D avec Cinema 4D GOBELINS ECOLE IMAGE — Réaliser une publication interactive pour appareils mobiles avec Twixl Publisher GOBELINS ECOLE IMAGE — Vidéo 360 – VR – De la captation àl’expérience immersive interactive REINE CHARLOTTE — Stage de gravure et d’ impression en taille douce 54 FILS AU CM — sérigraphie AMAC — Clarifier et positionner son projet artistique AMAC — CONCEVOIR UNE ŒUVRE POUR L’ESPACE PUBLIC AMAC — PRESENTER SA DEMARCHE ARTISTIQUE – PERFECTIONNEMENT AMAC — RÉUSSIR SA PRISE DE PAROLE EN PUBLIC ASSOCIATION FOLAPIK — Performance : le corps à l’oeuvre ECOLE EMILE COHL — Le personnage pour l’illustration jeunesse et numérique |
Archives de la catégorie : Formation
En formation !
La formation professionnelle est ouverte aux artistes-auteurs depuis l’été 2012. L’AFDAS en gère les fonds, dont nous pouvons bénéficier à concurrence de 7.200 € par personne et par an. Comment ?
D’abord, être affilié à l’Agessa ou à la Maison des Artistes. Pour les autres, dits les assujettis, justifier d’un montant de droits d’auteur de 9000 € sur les trois dernières années.
Ensuite choisir. Stage conventionné, formation transversale, formation métier, demande particulière ? Dans les trois premiers cas, on se réfèrera aux catalogues de l’AFDAS. Ici, par exemple, une liste des formations. Puis on contacte le centre qui nous intéresse, on s’inscrit, paperasserie (un peu)… et le tour est joué.
Il est aussi possible de suivre une formation qui n’est pas conventionnée par l’AFDAS. Dans ce cas, on lui présente une demande particulière : un CV, une lettre de motivation, quelques informations sur le programme de notre choix, paperasserie (un tout petit peu). Et notre dossier passe en commission. Celle des auteurs de l’écrit et des arts dramatiques dans notre cas. Quelle que soit la commission dont on relève, on peut se former dans tous les domaines, qu’ils soient proches ou non de nos métiers.
Article initialement publié sur le site du SNAC.
Paiement des droits d’auteur
La loi Création, Architecture et Patrimoine du 7 juillet 2016 a permis d’intégrer au code de la propriété intellectuelle un nouvel article qui sanctionne l’absence de paiement des droits d’auteur par une résiliation de plein droit du contrat.
L’article L.132-17-3-1 du CPI précise désormais que l’éditeur doit procéder au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire, et que faute pour celui-ci de procéder au paiement dans ces délais, l’auteur peut, durant les douze mois qui suivent, mettre l’éditeur en demeure de régler ces droits d’auteur. Si cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.
D’une manière générale un éditeur arrête ses comptes chaque année au 31 décembre. Au moins une fois par an, il doit verser les droits d’auteur relatifs à l’exploitation des œuvres. La date de paiement est prévue au contrat. A défaut, le paiement doit intervenir au plus tard six mois après l’arrêté des comptes.
Article L .132-17-3-1 du Code de la propriété intellectuelle :
« L’éditeur procède au paiement des droits au plus tard six mois après l’arrêté des comptes, sauf convention contraire précisée par l’accord rendu obligatoire mentionné à l’article L. 132-17-8.
Si l’éditeur n’a pas satisfait à son obligation de paiement des droits dans les délais prévus au premier alinéa du présent article, l’auteur dispose d’un délai de douze mois pour mettre en demeure l’éditeur d’y procéder.
Lorsque cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans un délai de trois mois, le contrat est résilié de plein droit.
IMPORTANT :
* Toute mise en demeure s’effectue par lettre recommandée avec accusé de réception. Conserver une copie de la lettre.
* La résiliation de plein droit est automatique. Si votre éditeur ne respecte pas ses obligations dans le délai de trois mois, le contrat sera résilié et ce, même si vous souhaitez poursuivre votre collaboration avec lui.
* Une fois la résiliation du contrat acquise, adresser une lettre simple à l’éditeur pour avoir un document à présenter à un éventuel futur éditeur justifiant des démarches. Si l’on souhaitez poursuivre sa collaboration avec l’ancien éditeur, signer un nouveau contrat d’édition.
« Vincent qu’on assassine », roman
Vincent qu’on assassine est paru aux éditions Gallimard (collection l’Arpenteur), en avril dernier. Auto-interview pour les ateliers d’écriture Elisabeth Bing
De quoi parle ce roman ?
Il retrace les deux dernières années de la vie de Vincent Van Gogh. En juillet 2014, je suis tombée sur la biographie de ce peintre par les historiens américains Naifeh et White Smith. Ils y démontrent que, contrairement à ce qu’on croit depuis cent vingt ans, Vincent Van Gogh ne s’est pas suicidé. Il a été assassiné. J’ai immédiatement eu une sorte de révélation : bien que la biographie ait rétabli la vérité, tout restait à écrire. Les faits étaient là, mais leur signification véritable manquait toujours : seul le roman, parce qu’il restitue la réalité dans ses dimensions factuelles, mais aussi sensorielles et émotionnelles, pouvait rendre compte de ce qui s’était passé à ce moment-là.
Je connaissais, bien sûr, l’extraordinaire correspondance de Vincent Van Gogh. Mais en avançant dans mes recherches, j’ai pris conscience du fait que ses lettres, bien souvent, ne reflétent qu’une dimension très partielle et très subjective de la réalité. Si on les met en relation avec d’autres points de vue, (d’autres lettres, par exemple, ou une simple chronologie) cela saute aux yeux. Là encore, le roman était la forme la plus appropriée pour faire vivre cela, parce qu’il fait coexister des subjectivités différentes, il donne à voir le monde dans sa complexité.
Le résultat de ce travail est-il un roman policier ?
Non ! Certes, le roman retrace la mort de Vincent Van Gogh, mais il montre surtout l’effort du peintre pour faire aboutir son travail de création et pour faire exister sa peinture dans un monde qui le nie en tant qu’artiste.
J’ai été frappée de constater combien pour cet homme que nous considérons aujourd’hui comme un génie incontestable, la peinture était un combat, un effort, une conquête. » Qu’est-ce que dessiner ? C’est l’action de se frayer un passage à travers un mur de fer invisible qui semble se trouver entre ce que l’on sent et ce que l’on peut. » De nombreux passages du roman ont été écrits à partir des notations et des réflexions sur le fait de créer dont la correspondance de Vincent Van Gogh est émaillée.
Il y a là pour moi une continuité évidente avec mon livre Ecrire de la page blanche à la publication et le film Tu veux écrire réalisé par Jean-Luc Cesco. Même s’il est question de peinture et non plus d’écriture, la question de la création reste centrale.
Quelle est la part de fiction ?
Elle est mince. Je n’ai pas d’imagination, d’une part. D’autre part, comme mon roman prétend rétablir une vérité par rapport à quelque chose qui serait de l’ordre du mythe, – le suicide- j’étais tenue de respecter au maximum les données historiques. J’ai donc écrit à partir des documents dont je disposais.
J’ai travaillé dans la direction que Marguerite Yourcenar indique avoir empruntée pour écrire les Mémoires d’Hadrien : « J’ai tâché de reconstituer tout cela, à partir des documents, mais en m’efforçant de les revivifier ; tant qu’on ne fait pas entrer toute sa propre intensité dans un document, il est mort, quel qu’il soit. » Je disposais de la correspondance, des tableaux, de données biographiques : tout un matériau d’une fabuleuse richesse, que je me suis employée à vivifier de mon mieux.
Certains tableaux, par exemple les Tournesols, le Portrait du docteur Rey, ou encore la Berceuse, ont une histoire extraordinaire, que ce soit à cause de ce qui les génère, du moment où ils sont peints, ou à cause du destin des toiles. Ils sont en eux-mêmes riches d’un potentiel narratif immense. Il n’était pas nécessaire d’ajouter quoi que ce soit : mon objectif en tant qu’auteur était d’utiliser au mieux ce magnifique matériau d’écriture, d’en rendre compte avec la plus grande justesse possible.
Les Ateliers d’écriture Elisabeth Bing
Jean-Christian Lhomme
Jean Christian Lhomme est l’un des seuls professionnels de l’énergie…
… auteur de documentaires de référence. ‘Les Énergies renouvelables’, son premier ouvrage publié en 2001, a reçu le premier prix littéraire des énergies renouvelables en Ile de France en 2007. Un second livre, ‘La Maison économe’, est devenu une référence auprès des grands médias, notamment lors des élections présidentielles de 2007. Avec ‘La guerre des watts, transitions et perspectives‘, il signe un titre ciselé au laser, armé pour éclairer les évolutions énergétiques du 21e siècle.
. . .
Un livre essentiel, clair et précis. À l’heure des comptes, la démarche qualité présente des avantages socio-économiques incontestables et de vrais bénéfices pour chacun. Ainsi, la qualité de l’isolation thermique et l’architecture bioclimatique, le choix de l’électroménager, la réalisation d’un éclairage économe et confortable, sont détaillés calculette en main. L’auteur présente, en situation d’exploitation, les énergies renouvelables « renouvelées » (soleil, vent, géothermie) ou compensées (bois énergie)
Delachaux et Niestlé, 2005, 190 pages.
13,50 €, livraison gratuite.
[button link= »https://www.payplug.com/p/NZea » bg_color= »#fc732b » window= »yes »]Acheter[/button]
. . .
Les énergies intermittentes et compensées sont dans l’impossibilité technologique de prendre les commandes d’un bouleversement énergétique de masse à l’horizon 2030. Comment dessiner un avenir sûr en phase avec les grands défis du nouveau siècle ? La guerre des watts secoue les certitudes bien au-delà des frontières de l’Hexagone et construit un avenir avec des réalités tangibles. Les vraies capacités des énergies conventionnelles, intermittentes et compensées sont mises à nu pour la première fois. L’auteur lève ici le voile sur le quotidien du réseau électrique européen pour enfin faire émerger une question fondamentale : la transition énergétique « verte » est-elle possible ?
Editions Quae, 2014, 176 pages.
29,50 €, livraison gratuite.
[button link= »http://livre.fnac.com/a7329493/Jean-Christian-Lhomme-La-guerre-des-watts#st=la%20guerre%20des%20watts&ct=&t=p » bg_color= »#fc732b » window= »yes »]Acheter[/button]