Vincent…, vu par Véronique Presle

vincentVéronique Presle, auteure, a lu Vincent qu’on Assassine, de Marianne Jaeglé. Son livre du mois. Extrait.


Van Gogh. On a vu ses tableaux, on a peut-être lu sa correspondance avec Théo, on connaît sa vie « d’artiste raté » comme il se qualifiait lui-même. On a même pu aller sur sa tombe en passant par Auvers. Vincent qu’on assassine retrace précisément les deux dernières années de sa vie. La Maison Jaune d’Arles, l’Asile de Saint Paul, « Chez Ravoux » à Auvers .

En résumé, il peint avec Gauguin, fréquente la taverne, s’isole, déprime, se mutile. Théo continue de croire en lui. En 1890, Van Gogh est méprisé par le milieu. Dans le village, on l’humilie, on a parfois pitié de lui, et on lui tire dessus. S’appuyant sur des travaux d’historiens, ce roman donne ainsi une autre version de la fin de sa vie. Non pas un suicide mais un assassinat… Accidentel peut être, mais un assassinat. Van Gogh, dépossédé de tout, même de sa mort.

La suite

Pour marque-pages : Permaliens.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *