Vincent qu’on assassine, vu par Etudes

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Etudes, revue de culture contemporaine, publie un joli compte-rendu de lecture de Vincent qu’on Assassine, de Marianne Jaeglé. Il est signé Véronique Petetin. Extrait.


Un prologue pour installer le suspense. Suivi des trois actes ou lieux du drame : Arles, mai 1888, l’Hôtel-Dieu de la même ville ; puis la maison pour aliénés de Saint-Rémy ; et enfin Anvers, mai 1890. Marianne Jaeglé a construit de façon rigoureuse ce roman qui retrace les deux dernières années de la vie de Vincent van Gogh. Elle a travaillé à partir d’une enquête, menée par deux Américains, prouvant que van Gogh ne s’est pas suicidé, mais a été assassiné « par accident ».

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